Dans une paisible ville d'Algérie au début du vingtième siècle, un rabbin et sa fille vivent une vie simple avec leur chat. Mais tout ça va changer, car un jour le chat reçu le don de parole en mangeant le perroquet du rabbin. C'est alors que la vie du rabbin change, alors que le chat se révèle a être un personnage plutôt coloré.Ils feront ensuite la rencontre des autres rabbins du village, parmi lesquels règnera une certaine compétition puisque la qualité du français écrit sera mise en jeu pour savoir qui sera le rabbin officiel du quartier. Par la suite, le rabbin montera une expédition pour retrouver une relique perdue...et en reviendra complètement changé.
Ce film d'animation, acclamé par la critique lors de sa sortie en 2011, a connu bien des problèmes en rapport à sa réalisation. C'était en effet plutôt difficile de condenser quatre tomes en un film de 86 minutes! Mais le résultat de ce long travail acharné est intéressant. La manière qu'on les personnages d'illustrer leur propos est fort bien pensée.Par exemple, lorsque le jeune russe explique que son village a été ''attaqué'' par son propre gouvernement est agréablement illustrée par une animation qui explique bien le parcours qu'il a fait pour atterrir chez le rabbin. L'effet visuel s'en trouve amélioré et trouve aussi facilement l'attention du spectateur. Le montage est bien travaillé et les voix des personnages correspondent bien avec ceux-ci Cette animation peut plaire à tous enfants et adulltes (malgré quelques scènes de violence) et à toute religion, puisque cette oeuvre questionne les religions et les relations entre-elles. Un questionnement intéressant à l'heure de la mondialisation. 8/10
-Plan moyen: Alors au début du Labyrinthe, Sarah et hoggle se disputent sur les modalités d'une possible entente pour traverser le royaume entre eux. On les voit alors les deux se chamailler et un couloir qui semble se prolonger à l'infini.
-Règle des tiers: Alors emprisonné au château du roi, on voit le bébé qui est amusé en voyant un Goblin chnater pour lui. David Bowie était au même moment en train de faire un prestation de l'une de ses chansons.
Très gros plan: Alors que Sarah est envoyée aux oubliettes après s'avoir fait avoir par une troupe de goblins, David Bowie finit sa prestation. Il lance en riant une boule magique au travers de laquelle on peut voir les yeux de Sarah totalement plongés dans l'inquiétude d"une pièce lugubre.
Champs-contre-champs: Discussion entre Hoggle et Sarah dans les oubliettes. Elle tente de marchander sa libération contre certains des bijoux qu'elle possède et les deux tente de tirer le plus de profits de l'autre.
Vue en plongée: Jareth ayant su que Hoggle a aidé Sarah a partir de la prison, il va à sa rencontre et l'oblige à amener Sarah au début du Labyrinthe, et le menace de terribles représailles. On le voit alors de haut, suppliant jareth de ne plui faire subir aucune sévices
-Vue en contre-plongée: Même scène. Jareth menace Hoggle et la caméra le montre étant en contrôle de la situation.
-Travelling vertical: Hoggle et Sarah se pressent de partir des égouts et fuir Jareth. La caméra les suit alors qu'ils sont en train de monter dans l'échelle.
Gros plan: Immédiatement après avoir sortit des égouts, un étrange personnage vieux et possédant un poulet qui parle sur la tête se présente à eux. Hoggle et Sarah lui demandent alors comment ils peuvent traverser le Labyrinthe et un gros plan se fait sur le visage du vieillard et celui-ci leur répond qu'il ne le sait pas.
Hors-champs: Sarah se promène encore et voit une grosse créature velue mais affectueuse se faire battre par des petits bonshommes. Elle est paniquée et on la voit avoir une expression d'inquiétude pendant un instant alors qu'elle regarde la pauvre créature en hors-champs se faire faire mal.
Ces procédés ne se retrouvent pas dans ce film:
-Split screen
-Long plan-séquence
-Panoramique vertical
-Travelling circulaire
-Zoom arrière
-Caméra à l'épaule
-Effet d'interdépendance
-Effet de portail
-Plan american shot: Pratiquement le premier plan du film. Sarah se trouve dans un parc près de sa maison ou elle voyage intérieurement en parlant du royaume des Goblins. Juste avant qu'elle se rende compte qu'elle doit revenir à la maison pour garder Toby.
-Plan rapproché épaule: Même scène que la précédente. Elle commence à divaguer sur l'histoire du royaume des Goblins et la caméra s'est rapprochée jusqu'aux épaules. Tout de suite après, elle court vers sa maison.
-Travelling arrière: Peu après la première scène, elle court avec son chien au travers de la ville. On la voit courir dans la rue aux cotés de son chien et la caméra se déplace lentement vers l'arrière, comme si nous les suivons de face et nous reculions.
-Plan d'ensemble: Encore en pleine course avec son loyal animal, nous avons une petite vue sur son quartier juste avant qu'elle atteigne la cours de sa maison sous une pluie torrentielle. Question de nous décrire un peu ce qui entoure Sarah.
-Travelling latéral: Alors qu'elle s'est enfermée dans sa chambre à cause de conflits d'horaire, on nous présente sa chambre de manière latérale pour nous présenter les livres qu'elle lit, les jouets et les peluches qui se trouvent dans sa chambre. La caméra s'immobilise lorsque Sarah demande humblement à son père de la laisser tranquille.
-Plan subjectif: Après avoir émit le souhaits que les Goblins s'emparent du bambin, elle n'entend plus les pleurs du bébé et s'inquiète et retourne dans la chambre pour voir si son petit frère est toujours là. Sarah prête alors ses yeux aux spectateurs et avance tranquillement vers le berceau avec les draps qui bougent.
Plan grand ensemble: Alors prête à sauver son petit frère, Jareth ouvre un portail vers le Labyrinthe et un magnifique plan représentant celui-ci nous apparait.
Plan rapproché taille: Sarah se tient devant l'entrée du labyrinthe et voit Hoggle le goblin pour la première fois. On la voit alors être abasourdie par la présence de la créature, puisque c'est probablement la première fois qu'elle le voit en vrai.
Zoom avant: Hoggle donne la pêche empoisonnée que Jareth lui a ordonné de donner à Sarah pour lui faire oublier sa quête de trouver son petit frère. Elle la mange et alors qu'elle va tomber dsans le coma, un zoom sur ses yeux perdus se fait.
Panoramique horizontal: Alors qu'elle est plongée dans le coma, elle rêve qu'elle est dans un bal avec le roi des Goblins. Pendant qu'ils dansent en tournoyant, la caméra fait un tour complet et présente tous les invités qui dansent ensemble.
Effet de reflet: Effet de reflet assez commun mais cela en reste un quand même. Alors qu'elle se dispute avec son père au commencement du film, elle se peigne et on la voit dans le mirroir.
Travelling avant: Alors que sa propre ville entre dans un conflit costaud, On aperçoit Jareth au sommet de son château contemplant la destruction de sa ville et la caméra s'approche vers jusuqu'au moment ou il aperçoit Sarah qui se dirige vers lui au bas du château
Profondeur de champs: Alors que les compagnons de Sarah et Sarah elle-même fuient le champ de bataille, on voit en arrière des perosnnages les conflits qui éclantent entre les goblins.
Overhead shot: Alors qu'un des compagnons de Sarah monte dans une tour environnante pour s'attaquer au Goblin, on les voit d'en haut au dessus de leurs tête.

Sarah (Jennifer Connelly), jeune adolescente impétueuse et indépendante, est obligée de garder son demi-frère, le petit Toby, durant toute une soirée. N'ayant pas du tout planifié sa soirée ainsi, elle s'en trouve vraiment mécontente. En plus du petit qui ne pouvait pas arrêter de pleurer, elle décida d'un moyen de s'en débarasser. Elle décida de faire appel au roi des Goblins, un certain Jareth (David Bowie) pour l'aider. Cependant, elle se ravisera assez rapidement et tentera de reprendre le bébé, mais il est trop tard. Elle devra franchir le labyrinthe du roi des Goblins sinon qui sait ce qui arrivera au bambin!
Ce film a été réalisé et écrit par Jim Henson et porté au grand écran en 1986. On peut difficilement rater la présence d'un artiste qui a déja fait ses preuves dans un autre art et qui joue dans ce film. Il s'agit de David Bowie, un musicien pop déja très connu sur la scène britannique, notamment pour ses tenues extravangantes. La musique de ce film a donc été principalement écrite par Bowie. Sa présence dans ce film m'a aidé à le choisir, puisque c'est un visage qui m'était familier ( je ne connais pas très bien l'actrice Jennifer Connelly). Le rythme de ce film est très confortable, les scènes s'assemblent très bien les unes sur les autres. On ne sait absolument pas à quoi s'attendre à chaque scène, il y a toujours un personnage ou un lieu qui repousse encore les limites de notre imagination. Le seul hic, c'est que un regard adulte trop averti pourrait trouver que le côté fantastique de l'histoire est mal calculé. Il y a des scènes qui en laisserait plusieurs se secouer la tête d'incompréhension! Mêmes les marionettes s'y prêtent bien; elles sont bien maîtrisées et réalistes. Labyrinthe est une oeuvre à ne pas trop prendre au sérieux, il faut se laisser transporter dans la magie et ainsi on apprécie bien ce film qui reste un classique des films fantastiques britanniques. 8.2/10
Travelling vertical: Aucun.
Travelling latéral: Scène démontrant Belloq discutant avec ses collègues allemands des progrès des excavations sur le chantier. Scène au tout début, dans la jungle, démontrant Jones et ses compagnons se rendre au temple.
Travelling circulaire: Aucun.
Mouvements optiques: Aucun
Hors-champs: Marion qui discute avec Indiana dans le bar népalais (Jones est hors champs). Nous voyons seulement Marion et l'ombre de Jones derrière Marion sur le mur.
Profondeur de champs: Aucun.
Champs-contre-champs: Nombreux dialogues: Scène avec Jones et Belloq et l'artéfact en or, dialogue entre Marion et Belloq sous la tente.
Split screen: Aucun.
Règle des tiers: Respectée et très bien maîtrisée (dialogues, plans)
Plan grand ensemble: Scène où nous voyons une partie de la chaîne de l'Himalaya, juste avant que Jones entre dans le bar pour rencontrer Marion.
Plan d'ensemble: Scène où nous voyons le chantier en Égypte, juste avant la discussion entre Belloq et ses associés.
Plan moyen: Lorsque l'allemand poursuit Jones dans la ville du Caire, il se présente au bout du corridor et ses acolytes égyptiens le rejoignent après. Nous distinguons quelques maisons en arrière du personnage.
Plan American shot: Juste avant le combat entre Jones et le combattant égyptien en costume noir et rouge (maniant plutôt habilement le sabre), il y a un moment bref ou Jones regarde devant lui avec la main portée à son arme.
Plan rapproché taille: La même scène que la précédente, sauf que le combattant fait une belle petite démonstration de force avec son sabre (très habile je vous dit!)
Plan rapproché épaule : Lorsqu’un des compagnons de Jones soulève son arme pour l’assassiner aux abords de la rivière au début du film
Gros plan: Scène démontrant Jones qui cherchait désespérément Marion dans les quartiers du Caire. Elle démontrait vertement l'inquiétude de celui-ci.
Très gros plan: Aucun.
Plan subjectif: Aucun.
Vue en plongée: Scène démontrant Belloq qui reprend l'objet en or massif de l'archéologue au commencement de l'ouvrage cinématographique. La caméra était au dessus de Jones, démontrant clairement qu'il était à la merci de Belloq.
Vue en contre plongée: Intéressantes scènes. La première est celle démontrant le colosse qui voit Jones tenter d'empêcher l'avion de décoller (Jones étant hors champs), nous permettant de bien saisir la corpulence impressionnante de l'oppresseur. La seconde se trouve à être celle qui arrive juste avant que Belloq ne reprenne l'objet en or massif au début du film. On le voit en premier plan avec ses collègues Movitos en arrière. Il a le contrôle de la situation.
Overhead shot: Aucun.
Balayage panoramique horizontal: Lorsque Jones poursuit les belligérants en cheval au travers du désert
Balayage panoramique vertical: Aucun.
Travelling avant: Dans la scène avec le dialogue entre les représentants des services secrets militaires et Jones: Dès que l'un d'entre eux propose que les propos qu'ils échangeront restent confidentiels, la caméra s'avance lentement vers le représentant.
Travelling arrière: Lorsque Marion se tient sur le balcon d'un appartement de l'un des amis de Jones en Égypte. La caméra recule en partant d'en arrière de Marion, nous permettant de découvrir l'environnement urbain qui les entoure.

Ce film est à propos d'un archéologue fougueux nommé Harry Jones qui parcourt le monde à la recherche d'artéfacts pour ensuite en faire don à son université qui l'a engagé comme professeur d'archéologie.
L'histoire débute en l'an 1939 en Amérique du Sud, le pays n'étant pas précisé. L'archéologue s'est rendu à cet endroit pour dénicher une relique et la ramener à l'université. Mais un nommé Belloq a les mêmes intentions que lui, et l'obligera par la force à lui rendre l'artéfact alors que Jones l'avait fraîchement trouvé. Il retourne donc bredouille à son lieu de travail, mais il se fait approcher par des représentants des services secrets militaires américains pour empêcher les nazis, avec Belloq à la tête, de s'emparer d'un mystérieux objet nommé l'Arche d'alliance. Ce dernier permettrait à toute armée qui le posséderait d'être invincible. Alors s'ensuit une course folle remplie d'action mêlant adrénaline et une touche de fantastique.
Ce film, réalisé par Steven Spielberg en 1981, a connu un succès retentissant partout dans le monde. Le réalisateur de ce film était déjà connu pour avoir réalisé Les dents de la mer et Rencontres du troisième type, ce qui amena l'oeuvre en question à un niveau modeste de visibilité. Dans les deux films cités précédemment, Spielberg nous en mettait déjà plein la vue, et la tradition continue avec la sortie d'Indiana Jones et les aventuriers de l'arche perdue. Le spectateur voyage continuellement pendant le visionnement; tantôt il explore les profondeurs d'une jungle aux milles dangers, tantôt il s'aventure dans un désert cuisant. L'action n'arrête jamais, le rythme est très rapide; le spectateur y trouvera plaisir. Par contre, un visionneur qui recherche plutôt une réalisation qui pousse un peu et déroge aux règles des cadres artistiques en place pourrait trouver ce film un peu redondant. Ce n'est pas l'audace ou l'originalité qui a fait la popularité de cette oeuvre, c'est l'action en continu, des scènes magnifiquement tournées. M. Spielberg excelle dans un but que que presque tous les réalisateurs veulent atteindre: nous éblouir. Pas tant par l'avant-gardisme, mais par la maîtrise exceptionnelle des règles du cinéma déjà connues. Conseillé à un public qui recherche un film vivant, racontant une aventure pimentée de péripéties. 8.7/10